LE MUSEE HARIBO à UZES
Nous avons visité le musée HARIBO qui se trouve à Uzés.
Un musée de bonbon, ça fait rêver non ?
Et bien je ne suis pas ressortie conquise. Il faut dire que j’avais imaginé ça autrement.
Je pensais voir la fabrication des bonbons en direct, je m’attendais à des espaces ludiques pour petits et grands, j’imaginais des guides qui nous expliquaient tout (ou presque) sur la fabrication de nos bonbons préférés et pourquoi pas rencontrer les mascottes dans les allées du musée, bref, j’avais imaginé cette visite comme une gamine qui arrive dans le monde merveilleux d’Hariboy et de son pote l’ours.
Mais ce que je n’avais pas bien lu sur le dépliant c’est le mot « MUSÉE ». Quand on prend bien conscience de ce mot, la déception est certainement moins grande.
Car en fait il s’agit bien de cela. Un musée sur 3 niveaux qui nous explique qui est le fondateur d’Haribo (Hans Riegel), et qui retrace l’histoire de la réglisse et de la fabrication des bonbons. On découvre l’évolution du packaging, et de la publicité tout au long de la visite (et c’est plutôt amusant d’imaginer nos grands-parents avec leur boite en carton ou en ferraille) et on peut admirer quelques mannequins habillés de belles robes en bonbons, ou en emballages.
Et pour bien comprendre tout ça il y a à disposition des petits reportages sur des TV, quelques écrans tactiles et surtout beaucoup de lecture. Et c’est là le hic pour nous, car faire patienter une petite fille de 2ans ½ pendant qu’on prend le temps de lire des dizaines de panneaux ça n’a pas été chose simple.
Nous misions sur un peu de distractions pour Nini dans la salle « La Production » avec ses jeux interactifs, mais certains ateliers ne fonctionnaient pas, et avec la foule c’était difficile d’accéder aux jeux.
Cependant ses yeux ont tout de même brillé dans la dernière salle : « la salle des machines ». Lors de notre arrivée l’hôtesse nous avait donné 3 petites pièces que nous avons pu insérer dans les machines magiques qui délivraient des sachets de bonbons. Et ça évidemment c’est ce dont elle se souvient.
Sans oublier bien sûr l’immense boutique où on ne sait plus où donner de la tête. Mais nous avons fait soft, quelques paquets pour le plaisir et vite vite à la caisse pour ne pas faire exploser la carte bleu.
la boutique